Patrice Chéreau aimait à découper des photographies de presse : un exercice quotidien, une "hygiène de la vision". Toujours des visages et des corps dans un espace dessinant une narration.
Maintenant c'est son beau visage qui s'étale sur les pages des quotidiens. Il ne nous racontera plus d'histoire. Et cela rend triste.